article de presse.
- christophe
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Encore un article du journal de saone et loire que partage avec vous. Une reflexion sur les UDM. Toffy
http://www.lejsl.com/saone-et-loire/201 ... s-ailleurs
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- Gilles
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Re: article de presse.
tres bien et plus bas sur le lien il y a dautres articles ecrit par le meme journal et plus anciens et on sent que le discours évolue dans le bon sens
-
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Re: article de presse.
ça change des torche-c*l habituel
- Régis NAJAC
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Re: article de presse.
A diffuser si voulvoule à qui voulvoule:
Nos trésors de France.
Pendant qu’en Angleterre une centaine de trésors archéologiques majeurs sont mis au jour déclarés et étudiés chaque année, pendant que les découvertes concernant son patrimoine antique se multiplient dans des proportions exponentielles, pendant que leurs musées s’enrichissent de pièces rarissimes, pendant que les amateurs d’histoire et de patrimoine collaborent étroitement avec les autorités archéologiques et sont récompensés, la France stagne, et recule.
Pourtant notre territoire est bien plus étendu que le leur et notre Histoire est tout aussi débordante, y compris de leur fait. Pourtant des trésors et objets intéressant notre passé sont potentiellement bien plus abondants chez nous.
Mais ils semblent inexistants et dans nos musées, excepté dans les plus grands, les vitrines sont très pauvres et ces merveilles de notre passé croupissent en majorité dans des caisses au fond de leurs caves poussiéreuses. Quand elles ne disparaissent pas mystérieusement des collections de ces musées, comme peuvent le prouver les inventaires refaits au fils du temps….
L’Angleterre a mis en place un programme de protection de son patrimoine basé sur une collaboration étroite avec les amateurs et les résultats sont spectaculaires. Il s’agit du Treasure Act, texte exemplaire à plus d’un titre.
En France, les lois concernant les découvertes, de vestiges, d’artefacts, les notions de « trésor » et celles régissant l’usage du détecteur de métaux, sont réductrices et insidieuses. Elles effrayent ou découragent quiconque, de déclarer ses trouvailles et font que des milliers de sites et d’objets sont détruits ou séquestrés. Les « poêles à frire » enrichissent pourtant l’Angleterre de façon impressionnante et leurs usagers ne sont pas de péjoratifs « chercheurs de trésors » menés au pilori…. Bien au contraire.
Pourtant dans notre hexagone les amateurs et passionnés sont légion et tout-à-fait disposés à collaborer avec les services archéologiques.
Que de « pourtant » !
Sommes-nous plus sots que nos voisins d’outre-manche ?
Les élus et décideurs de France semblent menés par le bout du nez par un petit groupe d’archéo-intégristes obtus et étanches à toute discussion.
Se disant « contre le pillage » (mot insensé et inadapté) ce groupuscule, fait de corporatistes certainement inquiets de leur avenir, cherche à rendre prohibée l’utilisation du détecteur de métaux en imaginant l’immense travail bénévole que pourraient offrir les prospecteurs cultivés et intéressés par notre patrimoine.
Nos élus sont-ils donc assez naïfs pour marcher dans leurs préceptes ?
J’ose croire que non.
Si c’était le cas, notre patrimoine y perdrait dans des proportions inimaginables et le pillage deviendrait bien réel car le découvreur, quel qu’il soit et par quelque méthode soit-elle, ne déclarera plus rien. Déjà que….
La « Perfide Albion » offre la carotte, la France impose le bâton.
C’est incohérent et contre-productif.
Gageons que nos élus sachent relever le défi et emboiter le pas à nos voisins Anglais.
Tout et tous y gagneront. Tous et tout y gagnera.
Allez, arouar.
Régis Najac
Nos trésors de France.
Pendant qu’en Angleterre une centaine de trésors archéologiques majeurs sont mis au jour déclarés et étudiés chaque année, pendant que les découvertes concernant son patrimoine antique se multiplient dans des proportions exponentielles, pendant que leurs musées s’enrichissent de pièces rarissimes, pendant que les amateurs d’histoire et de patrimoine collaborent étroitement avec les autorités archéologiques et sont récompensés, la France stagne, et recule.
Pourtant notre territoire est bien plus étendu que le leur et notre Histoire est tout aussi débordante, y compris de leur fait. Pourtant des trésors et objets intéressant notre passé sont potentiellement bien plus abondants chez nous.
Mais ils semblent inexistants et dans nos musées, excepté dans les plus grands, les vitrines sont très pauvres et ces merveilles de notre passé croupissent en majorité dans des caisses au fond de leurs caves poussiéreuses. Quand elles ne disparaissent pas mystérieusement des collections de ces musées, comme peuvent le prouver les inventaires refaits au fils du temps….
L’Angleterre a mis en place un programme de protection de son patrimoine basé sur une collaboration étroite avec les amateurs et les résultats sont spectaculaires. Il s’agit du Treasure Act, texte exemplaire à plus d’un titre.
En France, les lois concernant les découvertes, de vestiges, d’artefacts, les notions de « trésor » et celles régissant l’usage du détecteur de métaux, sont réductrices et insidieuses. Elles effrayent ou découragent quiconque, de déclarer ses trouvailles et font que des milliers de sites et d’objets sont détruits ou séquestrés. Les « poêles à frire » enrichissent pourtant l’Angleterre de façon impressionnante et leurs usagers ne sont pas de péjoratifs « chercheurs de trésors » menés au pilori…. Bien au contraire.
Pourtant dans notre hexagone les amateurs et passionnés sont légion et tout-à-fait disposés à collaborer avec les services archéologiques.
Que de « pourtant » !
Sommes-nous plus sots que nos voisins d’outre-manche ?
Les élus et décideurs de France semblent menés par le bout du nez par un petit groupe d’archéo-intégristes obtus et étanches à toute discussion.
Se disant « contre le pillage » (mot insensé et inadapté) ce groupuscule, fait de corporatistes certainement inquiets de leur avenir, cherche à rendre prohibée l’utilisation du détecteur de métaux en imaginant l’immense travail bénévole que pourraient offrir les prospecteurs cultivés et intéressés par notre patrimoine.
Nos élus sont-ils donc assez naïfs pour marcher dans leurs préceptes ?
J’ose croire que non.
Si c’était le cas, notre patrimoine y perdrait dans des proportions inimaginables et le pillage deviendrait bien réel car le découvreur, quel qu’il soit et par quelque méthode soit-elle, ne déclarera plus rien. Déjà que….
La « Perfide Albion » offre la carotte, la France impose le bâton.
C’est incohérent et contre-productif.
Gageons que nos élus sachent relever le défi et emboiter le pas à nos voisins Anglais.
Tout et tous y gagneront. Tous et tout y gagnera.
Allez, arouar.
Régis Najac
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- isabelle Lerquet
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Re: article de presse.
Et moi je signe et persiste :
Dans nos universités, les chercheurs méprisent les amateurs éclairés qui cherchent comme eux à faire avancer la.science. Ceux qui veulent collaborer avec les amateurs doivent le faire dans le plus grznd secret.
Les.articles.publiés dans des.revues grand public.ou des émissions.grand public sont.deprecies.voire.même rejettes. Le but de.cetre.élite pensante est de s'accaparer des sources pour les exploiter. Hélas et mille.fois hélas, cette.appropriation par cette.élite professionnelle en oublie ce.pour quoi.elle.s'est.battue depuis le.début du XIXe siècle. À quoi bon publier.un Combat.pour l'Histoire si les.historiens professionnels.n'aident pas.à.protéger et sauvegarder le patrimoine, notre patrimoine commun. Nous ne sommes.plus au siècle de Poye d'Avant ou Michelet.ou encore Viollet.le.duc où sauvegarde du patrimoine passait.souvent par.la.destruction du patrimoine pour reconstruire selon le.style de.telle ou telle époque.
L'heure est maintenant à l'entraide étroite entre les universitaires et nous !
Mobilisons nous et associons nous tous pour protéger intelligemment.le.patrimoine pour!!!
Dans nos universités, les chercheurs méprisent les amateurs éclairés qui cherchent comme eux à faire avancer la.science. Ceux qui veulent collaborer avec les amateurs doivent le faire dans le plus grznd secret.
Les.articles.publiés dans des.revues grand public.ou des émissions.grand public sont.deprecies.voire.même rejettes. Le but de.cetre.élite pensante est de s'accaparer des sources pour les exploiter. Hélas et mille.fois hélas, cette.appropriation par cette.élite professionnelle en oublie ce.pour quoi.elle.s'est.battue depuis le.début du XIXe siècle. À quoi bon publier.un Combat.pour l'Histoire si les.historiens professionnels.n'aident pas.à.protéger et sauvegarder le patrimoine, notre patrimoine commun. Nous ne sommes.plus au siècle de Poye d'Avant ou Michelet.ou encore Viollet.le.duc où sauvegarde du patrimoine passait.souvent par.la.destruction du patrimoine pour reconstruire selon le.style de.telle ou telle époque.
L'heure est maintenant à l'entraide étroite entre les universitaires et nous !
Mobilisons nous et associons nous tous pour protéger intelligemment.le.patrimoine pour!!!
- Régis NAJAC
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- Inscription :28 mai 2008 20:
Re: article de presse.
Yes Isa,
Tout à fait!
Un changement de comportement serait hautement bénéfique, mais le souci c'est que ce changement se devrait de venir de ceux qui sont censés donner l'exemple, des archéos et historiens en poste, pas des petits amateurs inoffensifs sur lesquels cette bande de corporatistes ou de sectaires (voire carrément d'intégristes pour certains) essayent de faire retomber les fautes....
Tout à fait!
Un changement de comportement serait hautement bénéfique, mais le souci c'est que ce changement se devrait de venir de ceux qui sont censés donner l'exemple, des archéos et historiens en poste, pas des petits amateurs inoffensifs sur lesquels cette bande de corporatistes ou de sectaires (voire carrément d'intégristes pour certains) essayent de faire retomber les fautes....
- isabelle Lerquet
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Re: article de presse.
Je sais Regix, je sais.
C'est.toujours.les.plus humbles.qui sont attaqués car ne bénéficiant pas.des mêmes réseaux de protection que les.élites intellectuelles déjà etablies et se.reconnaissant par.leurs pratiques. Je trouve ce procédé déplorable et inadmissible...
C'est.toujours.les.plus humbles.qui sont attaqués car ne bénéficiant pas.des mêmes réseaux de protection que les.élites intellectuelles déjà etablies et se.reconnaissant par.leurs pratiques. Je trouve ce procédé déplorable et inadmissible...
Re: article de presse.
alors la, chapeau!!!