vendredi on reçoit un gmp en occase pour une reprise sur un deus l'appareil est arrivé par la poste
j'estime le prix de reprise et appelle le gars sur son portable: je tombe sur al messagerie et je lui demande de me rappeler......
je vous laisse prendre connaissance de son message et de ma réponse


Bonjour,
Je m'inquiète de ne pas avoir de nouvelles de votre part, vu l'ampleur et le sérieux de votre boutique. Je ne sais pas quoi vous dire, peut être en vous signalant tout de même que je suis agent assermenté à la direction des finances publiques (les impôts pour faire simple...).
Évitons donc tout problème. Si votre patron est parti en Afrique du Sud ou en Nouvelle-Zélande afin d'inventer un trésor Mahori je comprendrais la situation mais sinon ...
Merci de prendre en compte sérieusement ce message.
Avec la plus grande cordialité[/b
et ma réponse immédiate:
Cher Monsieur
je vous remercie pour ce mail provenant d'un inspecteur des impôts. Je vois que nous n'avons pas les mêmes valeurs de confiance et de travail!
je vous signale que vous nous avez laissé un numéro de portable et que c'est un moyen que nous affectionnons particulièrement dans le privé, car il nous permet de gagner du temps par rapport à la rédaction d un long rapport par mail insipide que personne ne prendra la peine de lire dans vos administrations mais ce n'est pas génant pour vous car la paye tombera de toute manière...
Alors si vous preniez la peine d’écouter vos messages vous auriez pu apprendre que nous avons bien reçu votre appareil ( de memoire fin de semaine derniere) et que nous voulions discuter de la reprise que nous pouvions vous faire vu l'état de celuici. Nous sommes arrangeants mais nous aimons les formes !
de même très cordialement je vous suggère de nous appeler pour que nous puissions en discuter et vous rappelle pour la énième fois notre numéro de téléphone 05.34.45.41.05.
sincèrement votre trés dévoué ( et zen!) patron de Loisirs détections pas encore parti en vadrouille mais cela ne saurait tarder si je reçois un mail comme cela par semaine ....
gilles Cavaillé