poesie
Publié : 05 août 2009 19:
en avant premiere pour vous:
Ode à l’écu
Par un beau matin de printemps,
Je sorti ma poele rechercher l’écu.
Le Garrett est à l’affût,
Il tournois au dessus du sol
Un son franc !
Évidement l’écu sonne.
Un écu ri je,
Car je ne manque pas d’obole.
Mais il est sale mon écu terreux !
L’écu béni, il n’est pas seul :
Celui-ci brille, jaune or
L’écu bordé de nouille…
Et il y en a d’autres
Mais à force, l’écu lasse.
Je range donc mes écus de sac
Alors heureux,
Rêvant déjà à ma prochaine sortie
Mort de faim,
Je m’écuis une belle tranche de liard.
Ainsi sesterce mine ma belle histoire.
Kona alias l’écureuil
Ode à l’écu
Par un beau matin de printemps,
Je sorti ma poele rechercher l’écu.
Le Garrett est à l’affût,
Il tournois au dessus du sol
Un son franc !
Évidement l’écu sonne.
Un écu ri je,
Car je ne manque pas d’obole.
Mais il est sale mon écu terreux !
L’écu béni, il n’est pas seul :
Celui-ci brille, jaune or
L’écu bordé de nouille…
Et il y en a d’autres
Mais à force, l’écu lasse.
Je range donc mes écus de sac
Alors heureux,
Rêvant déjà à ma prochaine sortie
Mort de faim,
Je m’écuis une belle tranche de liard.
Ainsi sesterce mine ma belle histoire.
Kona alias l’écureuil