Sortie périlleuse en Couserans.
Publié : 02 nov. 2009 10:
Salut à tous,
Ravi d’être encore parmi vous lol. Voila le topo de la sortie : Gégé me contacte en fin de semaine dernière ainsi que Titi pour nous proposer une sortie dans le Couserans. Le bon plan, un copain à lui a trouvé à vue une ou deux drachme devant une grotte. Donc on accepte sans sourciller et avec l’espoir de belles découvertes.
Nous voila donc tous frais et dispo en ce Samedi matin devant la mairie d’A…. Petit café rapide et direction la montagne (ça vous gagne), elle a bien failli gagner cette fois.
On commence la grimpette de ce petit chemin de randonné qui doit nous amener jusqu’au col. Grimpette tranquille dans des bois magnifique propices à la détection. Tous les 200 m environ des petits murets très anciens (à en juger la quantité de mousse qui les recouvre) sont érigés en travers de la jasse, comme s’ils devaient protéger quelque chose. Ca sent bon…
Arrivé au col, nous sortons les détecteurs et commençons à poêler. Très vite on va comprendre que cette vue magnifique à attiré ici plus d’un promeneur, le sol est truffé de capsule, boite de conserve et cochonnerie en tout genre. A l’écologie quand tu nous tiens. Ecœuré, on se dit qu’on va manger et partir sur cette grottee à flanc de falaise.
En découvrant le sentier pour descendre à la grotte, on se dit que Gégé n’a pas menti, c’est raide, et très raide même. La grotte est distante à vol d’oiseau de 300 m du col ou on a déjeuné, mais il nous faudra un bon trois quart d’heure pour l’atteindre. Arrivé devant la grotte la désillusion, c’est raide, plein d’éboulis et encore une fois plein de cochonnerie de spéléo ou autre promeneur inconscient. Dégouté on décide de remonter et la en regardant vers le haut, une forte envie de pleurer. Vous vous êtes déjà demandé « Mais qu’est que je suis venu faire la ? ». Je n’ai pas chronométré le temps qu’on a mis à remonter, mais ça a été long, trop long même. Des glissades tous les dix mètres, des pierres énormes qui se dérobaient sous nos pieds, un vrai piège à touriste. Arrivé sur le col, j’en peux plus, à bout de souffle à la limite du malaise et en hypoglycémie apparemment. Gégé m’écœure, il a 20 ans de plus que moi mais à peine essoufflé il boit un café et s’allume une clope, mais comment il fait ???
Voila que titi fait parler le GMAXX à quelques mètres du campement improvisé, il nous ramène 4 ou 5 bouton de braie sans doute Gaulois. Mais le doute n’est plus permis quand à l’origine de ces bouton quand l’ami Atos nous sort un joli poignard d’époque gauloise enfiché dans une faille de rocher. Nous allons tourner encore une heure sur les lieux pour ramasser encore quelques boutons, puis plus rien. Il y a bien un petit plateau à l’autre bout de l’éperon qui doit encore receler quelques artefacts, mais il se fait tard et nous décidons de remettre ça pour une autre fois. Mais cette fois si sans escalade, nous contournerons l’éperon par l’autre coté, c’est promis, l’escalade et la détection ne font pas bon ménages. Il y n’y a pas beaucoup de photos mais au moins celles des trouvailles. Admirez ce petit poignard…
Ravi d’être encore parmi vous lol. Voila le topo de la sortie : Gégé me contacte en fin de semaine dernière ainsi que Titi pour nous proposer une sortie dans le Couserans. Le bon plan, un copain à lui a trouvé à vue une ou deux drachme devant une grotte. Donc on accepte sans sourciller et avec l’espoir de belles découvertes.
Nous voila donc tous frais et dispo en ce Samedi matin devant la mairie d’A…. Petit café rapide et direction la montagne (ça vous gagne), elle a bien failli gagner cette fois.
On commence la grimpette de ce petit chemin de randonné qui doit nous amener jusqu’au col. Grimpette tranquille dans des bois magnifique propices à la détection. Tous les 200 m environ des petits murets très anciens (à en juger la quantité de mousse qui les recouvre) sont érigés en travers de la jasse, comme s’ils devaient protéger quelque chose. Ca sent bon…
Arrivé au col, nous sortons les détecteurs et commençons à poêler. Très vite on va comprendre que cette vue magnifique à attiré ici plus d’un promeneur, le sol est truffé de capsule, boite de conserve et cochonnerie en tout genre. A l’écologie quand tu nous tiens. Ecœuré, on se dit qu’on va manger et partir sur cette grottee à flanc de falaise.
En découvrant le sentier pour descendre à la grotte, on se dit que Gégé n’a pas menti, c’est raide, et très raide même. La grotte est distante à vol d’oiseau de 300 m du col ou on a déjeuné, mais il nous faudra un bon trois quart d’heure pour l’atteindre. Arrivé devant la grotte la désillusion, c’est raide, plein d’éboulis et encore une fois plein de cochonnerie de spéléo ou autre promeneur inconscient. Dégouté on décide de remonter et la en regardant vers le haut, une forte envie de pleurer. Vous vous êtes déjà demandé « Mais qu’est que je suis venu faire la ? ». Je n’ai pas chronométré le temps qu’on a mis à remonter, mais ça a été long, trop long même. Des glissades tous les dix mètres, des pierres énormes qui se dérobaient sous nos pieds, un vrai piège à touriste. Arrivé sur le col, j’en peux plus, à bout de souffle à la limite du malaise et en hypoglycémie apparemment. Gégé m’écœure, il a 20 ans de plus que moi mais à peine essoufflé il boit un café et s’allume une clope, mais comment il fait ???
Voila que titi fait parler le GMAXX à quelques mètres du campement improvisé, il nous ramène 4 ou 5 bouton de braie sans doute Gaulois. Mais le doute n’est plus permis quand à l’origine de ces bouton quand l’ami Atos nous sort un joli poignard d’époque gauloise enfiché dans une faille de rocher. Nous allons tourner encore une heure sur les lieux pour ramasser encore quelques boutons, puis plus rien. Il y a bien un petit plateau à l’autre bout de l’éperon qui doit encore receler quelques artefacts, mais il se fait tard et nous décidons de remettre ça pour une autre fois. Mais cette fois si sans escalade, nous contournerons l’éperon par l’autre coté, c’est promis, l’escalade et la détection ne font pas bon ménages. Il y n’y a pas beaucoup de photos mais au moins celles des trouvailles. Admirez ce petit poignard…