Cas de conscience...(en un seul mot)
Publié : 23 mars 2013 16:
Les faits :
Effondrement sur une route, d’un vieux mur de soutènement d’une voix d’accès.
Faut faire vite, car, d’une part la circulation est interrompue en aval et la route.
D’autre part il faut remonter ce mur afin que la voie supérieure ne s’effondre pas à son tour car c’est le seul accès à des habitations,
Donc il faut déblayer et dégager les gravats et décaper le rocher afin de créer une assise saine. Tous ces gravats sont portés à la décharge la plus proche, à mesure.
Somme toute, petits déboires classiques inhérents à n’importe quelle localité plus ou moins pentue.
Petit hic, archi classique aussi du reste, l’action se déroule en territoire dit « archéologique », ou « classé » ou machin du genre, c'est-à-dire à quelques 30m à vol d’oiseau d’une forteresse du XIIIème siècle.
On est certains que le lieu de l’effondrement ne recèle aucune structure d’intérêt archéologique, mais la loi s’applique à toute recherche.
Bien.
Des fouilles de sauvetage d’éventuels d’artefacts sont absolument impossibles, car soumises à des autorisations longues et fastidieuses.
Bien.
Tous les gravats emmenés à la décharge sont mélangés à une quantité importante d’autres gravats modernes et la décharge est toujours en « secteur classé »….
Bien.
D’aucuns soupçonnent la présence de petits artefacts, ferreux ou non…..
Bien.
La loi s’applique à toute recherche…..
Re-bien.
Alors, messieurs des SRA ? (je ne parle pas des abrutis d’H2P2 emplumés du fion et vides du ciboulot) on fait quoi ?
Hum ?
On laisse tout partir au remblai avec perte inexorable et on enfreint la loi ?
Ou bien on passe un petit coup de détecteur dans la décharge afin de voir si un malheureux méreau est sauvable et on enfreint la loi ?
Hum ?
L'intelligence ne consisterait-elle pas à déléguer à un archéologue amateur, ou simple amateur maitrisant le détecteur de métaux, le soin de mener à bien une petite fouille d'éventuel sauveyage?
Hum?
Effondrement sur une route, d’un vieux mur de soutènement d’une voix d’accès.
Faut faire vite, car, d’une part la circulation est interrompue en aval et la route.
D’autre part il faut remonter ce mur afin que la voie supérieure ne s’effondre pas à son tour car c’est le seul accès à des habitations,
Donc il faut déblayer et dégager les gravats et décaper le rocher afin de créer une assise saine. Tous ces gravats sont portés à la décharge la plus proche, à mesure.
Somme toute, petits déboires classiques inhérents à n’importe quelle localité plus ou moins pentue.
Petit hic, archi classique aussi du reste, l’action se déroule en territoire dit « archéologique », ou « classé » ou machin du genre, c'est-à-dire à quelques 30m à vol d’oiseau d’une forteresse du XIIIème siècle.
On est certains que le lieu de l’effondrement ne recèle aucune structure d’intérêt archéologique, mais la loi s’applique à toute recherche.
Bien.
Des fouilles de sauvetage d’éventuels d’artefacts sont absolument impossibles, car soumises à des autorisations longues et fastidieuses.
Bien.
Tous les gravats emmenés à la décharge sont mélangés à une quantité importante d’autres gravats modernes et la décharge est toujours en « secteur classé »….
Bien.
D’aucuns soupçonnent la présence de petits artefacts, ferreux ou non…..
Bien.
La loi s’applique à toute recherche…..
Re-bien.
Alors, messieurs des SRA ? (je ne parle pas des abrutis d’H2P2 emplumés du fion et vides du ciboulot) on fait quoi ?
Hum ?
On laisse tout partir au remblai avec perte inexorable et on enfreint la loi ?
Ou bien on passe un petit coup de détecteur dans la décharge afin de voir si un malheureux méreau est sauvable et on enfreint la loi ?
Hum ?
L'intelligence ne consisterait-elle pas à déléguer à un archéologue amateur, ou simple amateur maitrisant le détecteur de métaux, le soin de mener à bien une petite fouille d'éventuel sauveyage?
Hum?