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par Régis NAJAC » 27 nov. 2009 06:
Je pense que la détection souffre d’un gros problème, typiquement français me semble, et inhérent aux clartés des lois, décrets et autres arrêtés…
D’un côté : il faut qu’on en parle, qu’on fasse de la pub, qu’on médiatise, qu’on fasse connaître, qu’on publie, etc, mais de l’autre : faut pas qu’on en parle, faut pas faire de bruit, faut rester discrets, pas montrer ni se montrer, etc.
Merde ! Faudrait savoir !
Je pense que cela relève, d’une profonde hypocrisie, de part et d’autre. C’est très nettement induit pas la loi qui nous couvre et que certains abrutis veulent durcir afin de régler le problème !!!. Bande de naïfs.
Soit on est, on existe on a le droit, on est utiles, on collabore, etc. et on est DEBOUT, soit on est illégaux, vandales, saligauds, pillards illégaux et alors on disparaît.
Un point c’est tout.
Ce qui est trouvé en toute légalité, sans intérêt archéo, ou avec et déclaré, a parfaitement le droit d’être exposé, comme TOUT ce qui est détecté, sans détecteur. Faudrait un peu arrêter de stigmatiser. Tout peut être exposé, autant que les centaines de kilos de fers de bœufs, bombes de laque, emballages de préservatifs, capsules de bière, plombs de tous ordres, cartouches, reliefs de nos boucheries guerrières, tirettes alu de 5 étoiles qui tache, et multitude de saloperies dispersées par la main de l’homme, et qui polluent, y compris nos cultures…
Emeute, saisie, descente de la DRAC, du G.I.G.N.?
Holà, ça ne se fait pas comme ça, et il faut quand même des raisons sérieuses et des suspicions de pillage et banditisme en bande organisée…
Allons allons…on va où là ?
Ar
R